L’enfant joaillier

Au restaurant à Chez Rosa é, tous les compagnons artisans se rassemblaient et on parlait, on causaitémeubleé amouréclientéargenté
Ils travaillaient dur les garsé quand un jour un gamin a débarqué. On la racontait encore cette histoire lé, elle avait fait le tour du quartier :
Il séest approché du comptoir, Rosa surprise avait demandé :
é Quéest ce tu veux toi à é
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Le Bolide

A toute allure, il a déboulé. Venu tout droit du ciel pour vivre une nouvelle expérience...
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les couleurs de la vieille

Il était une fois un jeune indien adolescent qui vivait dans un camp en compagnie de sa famille et de sa tribu. On disait de lui quéil était voué à devenir chaman. Il avait en effet le pouvoir de voir les couleurs des autres.
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Un sage pas sage

Céest léhistoire déun sage pas sage,
Il séappelait Archinoé Lepage.
Il habitait dans un HLM à léétage,
Il avait squatté le sous sol en marge
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Que Je suis bleu

C'est Orphée qui disait ça, un petit garçon qui n'avait pas le moral.
Quand soudain, il entendit la voix d'un saxophone, qui chantait du blues
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Traine Savate

Il était une fois une petite fille qui était tout le temps fatiguée. On l'appelait à Traîne savate à parce qu'elle traînait les pieds tout le temps. Ce matin d'hiver à Traîne Savate à refusa de se lever : à Laissez-moi tranquille ! J'ai les batteries à plat !
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Le rire du faon

Dans une prairie verte, tendre comme le céur de ce petit faon qui broutait, vivait une sorciére. Une sorciére si puissante quéelle arrivait à transformer ce faon en hyéne. Pourtant quand le petit nain des bois Istatac a débouché sur la prairie. Il ne séest pas méfié...
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un arc en ciel sonore

Savez vous que votre corps est comme une palette de couleur, une palette déénergie
Marielle le savait bien elle, dés que quelquéun la regardait, elle changeait de couleur...
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Verfadet le lutin farceur

Un lutin vivait dans la forét. Il était minuscule, pas plus grand quéun champignon et portait un petit habit vert. Il séappelait Verfadet. Céétait un petit esprit de la nature. On le trouvait toujours perché dans un arbre. Un jour de printemps Verfadet vit approcher un couple déhumain qui se tenait par la main.
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L’éternelle valse des couples

Il était une fois le monde qui avait un corps
Ou plutét deux corps...
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La femme des villes et la femme des champs

Céétait une simple fermiére qui avait toujours vécu les pieds dans la boue. Un jour léune de ses séurs quéelle néavait pas vu depuis plus de dix ans car elle avait épousé un homme riche qui léavait emmené partout dans le monde, vint lui rendre visite. Amélie, sa séur était devenue une femme des villes. Elle avait léallure svelte et portait escarpins et tailleur. A la voir, jamais on aurait pu léimaginer vivre dans une ferme.
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Le reflet bleu de la mer

Sur la toile bleue azur, il était lé souriant, une colombe lui frélait le visageé Mais en retournant le tableau, en miroir sur un fond bleu encre son visage sombre reflétait le chagrin.
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