Un pont peu ordinaire

Conte inspiré du Pont Neuf :
Il était un roi qui révait à un monde fait de raffinement de beauté et de Gréce. Il détestait la guerre mais admirait le courage. Il aimait par-dessus tout le faste et la comédie. A sa cours il était bien entouréé et on respectait les désirs du roi. Mais celui-ci se sentait menacé de toute part.
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La haine des reines

Le roi se meurt, le roi se meurt !
A son chevet trois femmes qui pleuraient. Pleuraient elles de tristesse ou de rage é
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le gondolier du roi

Le gondolier du roi, de sa piéce déeau, observait les amours du roi.
La gondole était le cabinet de romance royal. Dés quéil sééloignait de ses terres et de son chéteau, le roi se sentait libre et enfin laissait libre cours à ses sentiments. Le roi et la reine séy retrouvaient réguliérement pour parler et partager un moment déintimit
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l’arbre coloré

Il était une fois un arbre coloré
Un arbre aux fleurs rouges, bleues, vertes et blanches.
Mais si on y regardait de plus prés, c'étaient des sacs de plastique qui faisaient office de fleurs.
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la Clé du Roi

Louis vivait paisiblement à léombre de son frére. Il séappuyait sur lui comme sur un rocher. Céest lui qui devait devenir roi et qui était léobjet de toutes les attentions de ses parents.
Louis était le second dont on ne séoccupait pas et ma foi cela lui convenait parfaitementé Il avait la paix ! Mais voilé que tout séest renversé quand son frére lui a tiré sa révérence.
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Le grain de sable ou l’oeil du créateur

Il était une fois un grain de sableé
Si je vous en parle, céest parce quéil était le plus petit des grains de sable. On ne le voyait pas à lééil nu mais il se faufilait partout. Surtout au niveau des jointuresé et son plus grand plaisir était de coincer les ouvertures.
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La porte qui claque

Un papillon séest envolé, une porte a claqué
Eric est parti. Un à au revoir à sans détour, un à é jamais à qui va résonner longtemps dans cette maison.
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les i sur pattes

Il était une fois un grand magicien qui jouait avec les planétes
Il séappelait Archibald.
Archibald était un savant fou qui avait inventé des créatures. Certaines avaient quatre pattes, déautres rampaient puis il a souri en songeant à une créature qui néaurait que 2 pattes et qui marcherait tout droit comme un i sur pattes.
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La maison corps accord

Je ne le savais pasé Et pourtanté Depuis toujours ce que je prends pour ma maison est le corps déun géant !
Comment je léai su à
A cause déune puce !
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Tu parles la table

Elle trénait comme un vestige. C'était une magnifique table en chêne massif. Robert n'en était pas peu fier.

Et pourtant il lui avait fait mille crasses.
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La fièvre du marécage

Céétait un superbe marécage ! Du point de vue des hommes, une catastrophe. Aucune culture ne tiendrait le coup. Du point de vue des animaux un bonheur. Ils pouvaient patauger tranquille.
Céétait le paradis des grenouilles, des crapauds et des moustiques.
Ils donnaient la fiévre aux hommes et se débarassaient déeux facilement.
Mais un homme plus tétu que les autres voulut conquérir ce marécage.
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La mare aux canards

Tout en bas de la maison, à flanc de colline, il y avait la mare aux canards.
Emeline, la jeune fille de la maison savait bien que se cachait dans les eaux boueuses un satyre.
Tous les soirs quand la lune apparaissait dans le ciel, il sortait nu comme un ver.
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